Vins & Retsina

Quelle culture, Jeanne !

Jmolo a raison : la résine donne un peu comme un goût de terre.
En Grèce il est délicieux, et léger.
Alors que ceux que l'on trouve en France (chez Nicolas par exemple)
sont trop chargés en résine, du coup ils sont très nettement moins bons...
et plus chers, puisque le rétsina préféré de Jeyne, ne coûte que 0,90€, alors pourquoi se priver...
On ne se prive pas!

j'en ai peu bu du retsina .. sur la plage de Vaï en Crête ... pendant que l'homme escaladait des rochers pour faire des photos autres que la mer, les parasols et déjà les premiers touristes... à l'ombre d'un palmier je m'étais commandé un verre de ce breuvage et ma foi j'ai bien aimé !!!

le raki c'est le propriétaire du logement à palékatros qui nous en a offert chez lui pendant le séjour et une bouteille pour revenir ici.. sympa non ?

Jeanne tu as bien fait de donner des informations sur ce vin particulier, mais sais tu ... ou savez vous pourquoi on verse d'abord dans son verre lorsqu'on ouvre une bouteille de vin ... avant de servir les convives ?

j'ai lu, qu'il y a très longtemps, pour éviter que le vin dans les jarres prenne l'air, on mettait une couche d'huile qui restait en surface c'est pourquoi on se réservait le premier verre pour éviter l'huile aux invités ???

Information incroyable !!!

Je ne regarderais plus mon potiri krassi comme avant...
... mais en même temps c'est si bon !

Que faire alors ????

C'est marrant... les particuliers utilisent les mêmes pichets que les tavernes....

Un jour Bacchus ayant vu que Silène Dormait profondément, prit sa coupe, et sans gêne, Dans le cellier, à l'aise il s'attabla, Près d'une amphore pleine Où reposait un vieux vin, qu'avec peine Son ami conservait pour des jours de gala. Il but pendant le triple du dixième Du temps qu'à boire seul Silène eût employé Pour vider l'amphore elle-même ; Mais Silène survient, et son chagrin extrême Dans le reste du vin est aussitôt noyé. Quand l'amphore fut vide, Avec regret Bacchus vit que sa part Du précieux liquide N'avait été que tout juste le quart De celle de Silène. Si, tout d'abord, d'une commune haleine, Chacun buvant à sa façon, Ils s'étaient réunis, ils auraient mis, dit-on, Huit quarts d'heure de moins pour épuiser l'amphore. Comment l'a-t-on su ? Je l'ignore. On veut, d'après cela, trouver exactement Le temps que chacun d'eux eût mis séparément, Si, buvant seul, de la même manière, Il avait mis à sec l'amphore tout entière

J'appris donc très vite avec Christos, à diviser les monastères, non plus en cénobitiques et en idiorythmiques,
mais en monastères à vin et en monastères à raki.
Les premiers se subdivisaient à leur tour en monastères à bons vins - donc à bons moines - et monastères à mauvais vins.
Ceux-là il les évitaient de son mieux
Jacques Lacarrière - L'été - p 83

Monemvassia pour un p'tit blanc ?
Moscato pour p'tit doux ?
Xinomavro pour son réputé tanin ?
Agiortiko pour son goût de fruits rouges ?
Limnio qui exhale la sauge et le laurier ?....

Ou bien une création dont la recette demeura secrète de marc de raisin et de choux rouge ?????

jmolo a écrit:

Vous pouvez venir vendanger chez nous !

Nous posons, dès à présent, notre candidature !
Motivés, et ne rechignant pas à la tâche...

Nous ne faisons que cela, nous souvenir !
Je fais de petits apéros avec du fromage ramené de Naxos... et je me souviens.
Je rencontre Babé, et nous nous souvenons...
Isa se souvient et va organiser une soirée spéciale Remember Naxos :
réunissant Babé, Anne, David, Jeyne et elle même....
devinez de quoi nous allons parler ?

Plus aucune raison de revenir en France : vins et fromages gallois sont désormais disponibles

... au CARREFOUR de PAROS ! Vive la mondialisation !